Le parterre est comme le poulailler de l'Opéra, il n’est pas cher et il tend à donner un angle de vue différent. Exercice athlétique en toute occasion il est remarqué par le touriste ou le vendeur de marrons chauds. Tentant d'être discret il n'est pas encore autorisé par l'iconographie moderne, il est en suspend. Être parterre c'est s'agenouiller pour mieux entrevoir, c'est prendre acte du plaisir de la prise de vue. Cette démarche est ici systématique, le trottoir reste l'allusion essentielle de la démonstration, je prend acte de mon humble volonté de montrer le parterre de nos regards, plus qu'un nain couché, c'est un gnome assommé qui reproduit des pas
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